C’est la conclusion d’une étude toulousaine, menée durant 7 années sur des femmes âgées de 80 ans en moyenne.
Elle a mis en évidence que celles qui ont les apports alimentaires en vitamine D les plus importants ont 4 fois moins de risques de développer la maladie d’Alzheimer que les autres.
Celles qui s’exposent régulièrement au soleil à la mi-journée (moment auquel la synthèse de vitamine D dans la peau est maximale) ont un risque de développer la maladie encore diminué de moitié.
Des constatations tout à fait cohérentes avec le fait que la vitamine D est le plus puissant anti-infectieux et antiviral naturel connu.