Une nouvelle étude parue dans le Journal of Functional Foods suggère que l’allicine, un composé présent dans l’ail, permet de diminuer le risque cardiovasculaire en empêchant la formation de TMAO (trimethylamine-N-oxyde) fabriqué à partir de la L-carnitine alimentaire par la flore intestinale. L’allicine agit en modulant la flore intestinale, ce qui inhibe la transformation deLire la suite…
L’étude PREDIMED a permis de faire un lien précis entre les habitudes du régime méditerranéen et une plus faible incidence des maladies cardiovasculaires. Mais ce qui est particulièrement intéressant dans cette étude, c’est le lien que les chercheurs ont pu mettre en évidence concernant les niveaux de magnésium et leursLire la suite…
Une étude parue dans The New England Journal of Medicine a montré que les personnes qui consomment régulièrement des fruits à coques ont un taux de mortalité diminué de 20 % en comparaison des groupes ne consommant pas ou peu de ces fruits oléagineux. L’étude souligne aussi que ces consommateurs étaient statistiquement plusLire la suite…
Des scientifiques ont passé en revue 24 études portant sur l’apport en magnésium chez près d’1 million de personnes. Il en ressort que l’apport en magnésium : – diminue jusqu’à 30 % le risque cardiovasculaire. – réduit de 22 % le risque de maladie cardio-ischémique mortelle. – abaisse de 11 % le risque d’accidentLire la suite…
Un taux élevé de magnésium réduit la fréquence de maladies cardiovasculaires. C’est la conclusion d’une revue de littérature réalisée par des chercheurs de Harvard et publiée en ligne dans l’American Journal of Clinical by Savings Wave » href= »http://www.lanutrition.fr/les-news/du-magnesium-pour-eviter-l-infarctus.html »>réduction du risque cardiovasculaire de 30%. De même, chaque augmentation de 200 mg/jour dans l’apport de magnésiumLire la suite…
Une étude suédoise récente montre qu’une supplémentation de sélénium et de coenzyme Q10 diminue le risque de mourir des suites de troubles cardiovasculaires. Ils ont donné soit du sélénium associé à du Q10 soit un placebo à 400 personnes bien portantes âgées de 70 à 88 ans pendant 5 ans. A l’issue de l’étude,Lire la suite…
